L’Arctique a été un véritable éclat. Un mélange d’admiration, de peur, de passion, d’angoisse, de joie, de rêve et de cauchemar. Une euphorie permanente et terrifiante. Ce fut, pour Maxime et moi-même, un terrain de jeu et d’expérimentation. Nous filmions tout, sans savoir où cela nous mènerait. Voilà pourquoi ce film fut si long à monter ! À chaque retour sur la table de montage, je me posais les mêmes questions : où vais-je avec cela ? Pourquoi garder cette séquence ? À quoi sert-elle ? …