Inside Pen Duick VI

Été 2020. Bretagne. En résidence artistique sur Pen Duick VI avec Marie Tabarly, Mélanie Laurent, Théo Sanson et la compagnie de cirque Barcode, j’ai eu la chance de pouvoir découvrir le monde de la mer et d’appréhender le voilier comme objet filmique. Une expérience hors du commun qui me permis de rassembler les images nécessaires à la réalisation d’un documentaire expérimental.

The Final Problem

The Final Problem (hommage à la nouvelle de Conan Doyle) d’Ophélie Raymond fût une agréable découverte. Bien connu du grand publique, Sherlock Holmes apparait ici dans son intimité, se livrant sur son passé et son avenir directement à son créateur. Sir Arthur Conan Doyle, surpassé pas la célébrité de sa création, prend une décision difficile : il décide de tuer Sherlock. Ce court métrage raconte donc les derniers instants de ce personnage dans l’esprit de Doyle, tentant de se défendre et de le convraincre de faire marche arrière.

Il Était La Nuit – Once Upon The Night

Le Film Récompensé par les prix du meilleur film et meilleur acteur au festival du court métrage de Metz 2017, Il Était La Nuit prend la décision de ne jamais quitter le monde des cauchemars pour ancrer le spectateur dans un univers original, inattendu et sans fin. Rewarded for best film and best actor atLire la suite « Il Était La Nuit – Once Upon The Night »

Portail du Soupir – Portal of Sigh

Réalisé en 2017 à l’occasion d’un concours ayant pour thème « La Rue », Portail du Soupir est un court métrage expérimental invitant à l’exploration du monde qui nous entoure, à découvrir le chez-soi que l’on pense maîtriser et qui nous est en réalité totalement inconnu. Un film qu’il me semblant louable de publier en cette nouvelle période de confinement 2021. Je remercie tout particulièrement Eva Lambillon de l’école de danse de Lausanne, La Manufacture, dont les pas de danse ont illuminé le film sur toute sa durée. Portail du Soupir traite de l’enfermement, du malaise intérieur qui nous irrite et nous dévore entre les murs de la colère. Même entouré de ses plus précieux amis, il illustre le besoin de, parfois, se retrouver seul avec soi-même pour recharger les batteries, créer. Créer. Encore et toujours.